Le 1er juin 2018 s’est tenu le Parlement Européen des Jeunes au lycée Branly. C’est une journée qui a pour but de mettre en scène des simulations de débats comme au Parlement Européen.
Pour cela des commissions sont créées au sien desquelles les élèves de différents niveaux et différentes classes sont mélangés. Ensuite des exercices sont mis en place par les «chairs», autrement dit les tuteurs des commissions. Tout d’abord il y a le «team building» qui vise à faire des équipes. Ensuite, des jeux sont proposés par les chairs afin d’apprendre à se connaître et créer une vraie dynamique de groupe. Pour finir le « Comity work » qui vise à se sentir comme un réel député Européen, le but est de reprendre les mêmes commissions qu’au Parlement Européen tels que Cult, Afco, Envi, Libe II et Femm. Les sujets proposés sont issus de la société civile et relèvent de l’actualité. Ainsi le rôle des commissions est de légiférer. De plus, elles approfondissent les sujets pour acquérir une expertise qui sera à la suite débattue lors de l’Assemblée Générale en français et en anglais. Ainsi, à tour de rôle chaque commission présente son sujet, l’introduit et le lis. Ensuite, un débat à lieu entre les commissions qui se solde par un vote.
Cette journée centrée sur le débat et la réflexion sur des sujets de société, fut organisée par des élèves de première : Camille, Anthonin Thiault, Bastien, Julien ainsi qu’Elise, Océane et Evaëlle. Par exemple, ils ont recruté des jeunes journalistes, comme Shainez et moi, pour couvrir l’événement et relayer l’info via le club media. « C’était important d’organiser des événements comme la PEJ parce qu’il n’y en a pas beaucoup et c’est important de faire participer tout le monde.» m’explique Camille. « Organiser une journée de cette ampleur, cela ne nous est jamais arrivé ! Même si on est très fatigué c’était bien. » Ajoute Bastien. « On en tire un bilan positif car on est un groupe solidaire et on peut tous compter les uns sur les autres. D’ailleurs, ça nous a donné envie d’être chair car on a observé comment ils travaillaient et Jean le président de la session nous a expliqué qu’on pouvait travailler à différentes échelles : régionale, nationale ou internationale. Cela me plait beaucoup.» conclut Antonin.
Le bilan de la journée est positif pour tout le monde. En effet, « le fait que les chairs soient avenants nous a aidé à nous sentir plus à l’aise» me racontent Lise- Anaëlle et Jennifer. « Au fur et à mesure de la journée on s’est senti un peu plus à l’aise. Puis sur la phase de travail on a pu voir toutes les opinions exprimées d’autant plus que les chairs nous encourageaient à le faire. » complète Lise Anaëlle.
Sortir du cadre scolaire a semblé différent et plaisant à tous les élèves participants, leur donnant une aisance à l’oral et aucune restriction dans leurs avis. De plus, le fait que l’Assemblée Générale se déroule en anglais comme au Parlement Européen où tout le monde ne parle français était appréciable.
Et bien disons que cette journée fut une réussite car elle été à l’initiative des élèves que cela soit dans l’organisation ou dans la mise en scène des débats. En espérant que l’année prochaine les secondes seront là pour prendre le relais !
Pour cela des commissions sont créées au sien desquelles les élèves de différents niveaux et différentes classes sont mélangés. Ensuite des exercices sont mis en place par les «chairs», autrement dit les tuteurs des commissions. Tout d’abord il y a le «team building» qui vise à faire des équipes. Ensuite, des jeux sont proposés par les chairs afin d’apprendre à se connaître et créer une vraie dynamique de groupe. Pour finir le « Comity work » qui vise à se sentir comme un réel député Européen, le but est de reprendre les mêmes commissions qu’au Parlement Européen tels que Cult, Afco, Envi, Libe II et Femm. Les sujets proposés sont issus de la société civile et relèvent de l’actualité. Ainsi le rôle des commissions est de légiférer. De plus, elles approfondissent les sujets pour acquérir une expertise qui sera à la suite débattue lors de l’Assemblée Générale en français et en anglais. Ainsi, à tour de rôle chaque commission présente son sujet, l’introduit et le lis. Ensuite, un débat à lieu entre les commissions qui se solde par un vote.Cette journée centrée sur le débat et la réflexion sur des sujets de société, fut organisée par des élèves de première : Camille, Anthonin Thiault, Bastien, Julien ainsi qu’Elise, Océane et Evaëlle. Par exemple, ils ont recruté des jeunes journalistes, comme Shainez et moi, pour couvrir l’événement et relayer l’info via le club media. « C’était important d’organiser des événements comme la PEJ parce qu’il n’y en a pas beaucoup et c’est important de faire participer tout le monde.» m’explique Camille. « Organiser une journée de cette ampleur, cela ne nous est jamais arrivé ! Même si on est très fatigué c’était bien. » Ajoute Bastien. « On en tire un bilan positif car on est un groupe solidaire et on peut tous compter les uns sur les autres. D’ailleurs, ça nous a donné envie d’être chair car on a observé comment ils travaillaient et Jean le président de la session nous a expliqué qu’on pouvait travailler à différentes échelles : régionale, nationale ou internationale. Cela me plait beaucoup.» conclut Antonin.
Le bilan de la journée est positif pour tout le monde. En effet, « le fait que les chairs soient avenants nous a aidé à nous sentir plus à l’aise» me racontent Lise- Anaëlle et Jennifer. « Au fur et à mesure de la journée on s’est senti un peu plus à l’aise. Puis sur la phase de travail on a pu voir toutes les opinions exprimées d’autant plus que les chairs nous encourageaient à le faire. » complète Lise Anaëlle.
Sortir du cadre scolaire a semblé différent et plaisant à tous les élèves participants, leur donnant une aisance à l’oral et aucune restriction dans leurs avis. De plus, le fait que l’Assemblée Générale se déroule en anglais comme au Parlement Européen où tout le monde ne parle français était appréciable.
Et bien disons que cette journée fut une réussite car elle été à l’initiative des élèves que cela soit dans l’organisation ou dans la mise en scène des débats. En espérant que l’année prochaine les secondes seront là pour prendre le relais !
Nora Boussof
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